De loin, les fêtes de fin d'année sont magnifiques. Les lumières scintillantes, les sols brillants, l'odeur de la guirlande de cannelle, les rires des enfants... et les caddies remplis à ras bord.
Mais si l'on passe derrière le registre, la situation change. Le bruit est plus fort ici. Le stress est plus fort. Les sourires sont plus crispés. Quelque part entre le scintillement et la tension, un caddie passe la porte sans s'arrêter.
Il s'agit d'un vol par poussée.
Il ne crie pas. Il ne court pas. Il se déplace tranquillement, régulièrement, et puis il disparaît.
Les chiffres derrière le bruit
Nous avons étudié un sous-ensemble de magasins équipés de l'application Purchek® La solution "pushout theft" permet de comprendre ce qui se passe réellement au moment de la ruée vers les vacances.
Les résultats n'étaient pas un accident de parcours. Il s'agissait d'un modèle.
Entre octobre et janvier, les vols de poussoirs ont augmenté de 37 % par rapport au reste de l'année.
La saisonnalité du vol de poussée
Février - septembre : Base de référence
Octobre - janvier : Augmentation des vols de poussoirs, avec un pic à +37%
C'est le directeur d'un magasin qui l'a le mieux décrit : "On a l'impression que les portes ne savent plus comment se fermer". Les données ont simplement confirmé ce que les équipes des magasins savaient déjà : les vacances repoussent ! Dur.
La pression des vacances
Pourquoi les vols augmentent-ils si rapidement pendant la saison qui est censée apporter la joie ?
Parce que la joie n'est pas bon marché. Les budgets sont serrés. Les familles s'étirent. Les acheteurs sont pressés jusqu'à leur point de rupture.
En décembre dernier, deux jours avant Noël, une femme de 79 ans vivant en Floride a rempli son chariot de près de 900 dollars de nourriture et d'articles ménagers. Elle disposait d'environ quatre-vingts dollars. Lorsqu'elle a été arrêtée, elle ne s'est pas débattue. Elle a déclaré à la police qu'elle avait volé ces articles pour pouvoir "profiter des fêtes avec sa famille". [Le Soleil, 23 décembre 2024].
Il est facile de qualifier ce genre d'histoire de crime. Mais il est plus difficile de voir ce qui se cache derrière. Les difficultés financières. La solitude. Des vacances qui exigent plus que ce que certaines personnes peuvent donner.
Maintenant, multipliez ce moment par des centaines de magasins, des milliers de chariots et des millions d'occasions pour les gens de faire un mauvais choix dans une saison désespérée. C'est ce que les données ne montrent pas : les battements de cœur qui se cachent derrière les chiffres.
La cocotte-minute des fêtes
Imaginez un magasin à 18 heures, un vendredi de décembre. L'odeur des mokas à la menthe du kiosque à café. Les interphones hurlant pour demander du renfort à la caisse. Un enfant en bas âge qui pleure quelque part près des produits. Des associés zigzaguant comme des hirondelles d'une allée à l'autre, la tête baissée et les mains pleines.
Puis un flou de mouvement à la sortie. Personne ne le voit au début. Tout le monde est occupé. Mais le panier est déjà parti. C'est comme ça que ça se passe. Ce n'est pas cinématographique. Ce n'est pas dramatique. C'est le silence qui vous rattrape. Pushout Theft prospère silencieusement dans l'effervescence du shopping des fêtes de fin d'année.
Lorsque les données relatives à la poussée ont été cartographiées, la tendance était claire. Octobre est le coup de semonce, novembre et décembre grimpent, et janvier explose.
L'ironie du sort veut que la saison où l'on donne soit celle où l'on prend le plus. Ce n'est pas une coïncidence. C'est le signe que les défenses du magasin, aussi aguerries soient-elles, sont mises à rude épreuve par les limites humaines. Les vols à la sauvette se produisent même sous le nez des agents de sécurité postés à la sortie. Pourquoi ? Les vols par poussée ne reposent pas sur la furtivité. Ils reposent sur la familiarité. Pour un employé ou un agent de sécurité occupé, un chariot de marchandises non payées ressemble exactement à celui qui a été acheté. C'est ce qui rend les vols par refoulement si coûteux et si faciles à manquer.
De l'incident au renseignement
Chaque vol raconte une histoire, mais la plupart des magasins n'en voient que la dernière page. Lorsque les équipes commencent à relier les points, le temps, le lieu et le comportement, elles réalisent qu'il ne s'agit pas d'un hasard. Il s'agit d'un modèle qui peut être appris, voire prédit. C'est ce que nous appelons renseignements sur les vols.
Des outils comme le Technologie Purchek permettent de mettre fin à l'acte en temps réel, tandis que des systèmes tels que le FaceFirst® (en anglais) identifier les schémas qui se cachent derrière, les récidivistes, les visages familiers, le moment de la journée où le risque est le plus élevé. Il ne s'agit pas d'attraper les gens. Il s'agit de les comprendre. Lorsque l'on comprend le comportement, on peut changer les résultats.
Faire travailler davantage ce que l'on a
De nombreux détaillants disposent déjà de la base. Si vous utilisez CartControl®Vous utilisez déjà la technologie SmartWheel® de Gatekeeper. Elle guide vos chariots. Elle les maintient en place. Mais ils peuvent faire plus !
Avec Purchek®, ils passent du statut d'assistants à celui de protecteurs, en se verrouillant automatiquement lorsqu'un chariot rempli de marchandises non payées s'approche de la sortie. Pas de confrontations risquées ou de poursuites dangereuses. Juste une prévention tranquille. Pensez-y comme le deuxième sens de votre magasin, pas des yeux à l'arrière de votre tête mais le calme à la porte d'entrée.
Une vue d'ensemble
Le vol par poussée n'est pas toujours lié à ce qui quitte le magasin. C'est ce qui reste derrière. L'anxiété. La culpabilité. La lassitude qui s'empare du personnel qui continue à regarder ce qui se passe. Un associé nous a dit : "Ce n'est pas la perte du produit qui fait mal. C'est le sentiment d'avoir échoué." C'est ce que la technologie sûre change, pas seulement les chiffres des pertes, mais aussi le moral. Elle rétablit l'équilibre dans une saison qui penche constamment vers le chaos. Alors oui, les vols augmentent chaque année pendant les vacances. Les données sont claires. Mais la solution l'est tout autant.
Planifiez tôt. Tirer des enseignements de ce que nous disent les chiffres. Transformez les incidents en informations. Et laissez les systèmes auxquels vous faites déjà confiance faire le gros du travail. En effet, lorsque les fêtes de fin d'année sont difficiles, ce qui est toujours le cas, vos magasins peuvent réagir de manière plus intelligente.
Principaux enseignements
Entre octobre et janvier, les détaillants enregistrent une forte hausse de 37% de leur chiffre d'affaires. incidents de vol de poussée, comme indiqué dans le La saisonnalité du vol de poussée Le nombre de vols est en augmentation constante pendant les vacances et atteint son maximum en janvier. Ce schéma n'est pas le fruit du hasard ; c'est le résultat prévisible de la pression saisonnière, où l'augmentation de la fréquentation, la tension émotionnelle et le surmenage du personnel créent les conditions idéales pour le vol.
Pour les détaillants, cette hausse ne représente pas seulement une perte de marchandises, elle a aussi un impact direct sur l'environnement. marges bénéficiairesL'efficacité de la gestion des stocks, l'efficacité de la main d'œuvre et l'expérience du client. Chaque incident de refoulement peut coûter des centaines de dollars en stock, ce qui, d'un bout à l'autre de la chaîne, se traduit par des milliers de pertes qui pourraient être évitées. Au-delà des aspects financiers, le coût invisible se traduit par une baisse du moral des employés et une fatigue opérationnelle au cours d'une période de vente critique.
Systèmes Gatekeeper' Technologie de prévention de l'éjection Purchek aide les détaillants à riposter plus intelligemment - en transformant les incidents en intelligence. En verrouillant automatiquement les chariots transportant des marchandises impayées et en générant des données exploitables, Purchek® ne se contente pas d'arrêter les vols avant qu'ils ne quittent la porte, mais protège également les bénéfices et préserve le moral des équipes pendant les mois les plus chargés de l'année.
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